Proberry 3 - Elderberry et la grippe
par Dr Greg Kelly, ND
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Faits à propos du produit North American Proberry

La source du texte anglais est la suivante : www.dadamo.com/napharm/gk3.htm

Proberry 3 (Elderberry) et la grippe (virus de l’influenza)

Les caractéristiques entre les groupes sanguins et le merveilleux Elderberry (baie de sureau)

Depuis la publication de «4 Groupes Sanguins 4 Régimes» (Eat Right 4 Your Type), il y près de deux ans, nous avons fait d’importantes découvertes sur le fruit ELDERBERRY (baie de sureau).  En fait, Peter et moi en sommes venus à compter de plus en plus sur un mélange savoureux de baie de sureau, de bleuets, de myrtilles et de cerises dans notre pratique médicale.  Même si la versatilité de la baie de sureau et des autres baies est incroyable, cet article sera limité principalement à l’usage le plus commun de la baie de sureau – i.e. comme remède pour la grippe.

Plusieurs experts médicaux considèrent le virus de l’influenza (cause de la grippe) comme le virus le plus dangereux au monde.  À plusieurs reprises dans l’histoire, ce virus a été responsable de la mort d’un très grand nombre de personnes dans une période d’une à deux années.  Par exemple, la “grippe espagnole” (type A(H1N1)) de 1918-19 a tué environ 500,000 personnes aux États-Unis et au moins 20 millions de gens à travers le monde.  En 1957-58, la “grippe asiatique” (type A(H2N2)) a eu pour résultat 70,000 morts aux États-Unis, et en 1968-69 la “grippe de Hong Kong” (type A(H3N2)) a tué 34,000 personnes aux États-Unis.

Qu’est-ce que la grippe ?

Faisons une pause ici et prenons un moment pour se faire une idée claire de ce qu’est la grippe en réalité.  La terminologie et la langue sont inconstantes, et ainsi l’usage général du terme “grippe” a évolué pour englober tout à partir du “rhume commun” jusqu’à la “grippe” réelle.  La “grippe intestinale” est un autre terme trompeur qui est utilisé souvent pour décrire des troubles gastro-intestinaux (la “grippe intestinale” n’est habituellement pas causée par un virus, mais par d’autres micro-organismes).  Alors, le premier point critique à comprendre est que la “grippe” n’est pas un rhume commun ou une infection intestinale.

Lorsque les chercheurs ou médecins parlent de la “grippe”, ils sont très spécifiques et veulent parler d’une infection du virus de l’influenza.  L’épidémie de l’influenza est divisée entre des types A et B du virus.  La présentation la plus commune de l’influenza inclut la fièvre (habituellement de 100ºF à 103ºF chez les adultes (37.77ºC à 39.44ºC)), des symptômes respiratoires (tels que la toux, la gorge irritée, le nez qui coule ou le nez bouché), des maux de tête, des douleurs musculaires, et souvent de la fatigue extrême.  Alors, le second point critique est que les gens qui travaillent dans le milieu médical et les médecins veulent dire virus de l’influenza lorsqu’ils utilisent le terme “grippe”.

La “grippe” annuelle peut être mortelle (dans une année typique, l’influenza est associée à environ 20,000 morts), spécialement chez les personnes âgées, avec problèmes du système immunitaire, ou ceux qui ont déjà une condition médicale telle que l’asthme, le diabète ou des problèmes cardiaques.  Même pour ceux d’entre nous qui sommes en bonne santé, la “grippe” peut quand même nous “couper le souffle” et nous faire sentir misérables pendant plusieurs jours ou même quelques semaines.

Il y a maintenant trois variantes principales de la “grippe” (deux du type A et une du type B).  Les variantes du type A sont le virus de “Hong Kong” du type A(H3N2) et ses dérivés (responsables d’environ 400,000 morts aux États-Unis depuis 1968 (90% représentant des gens âgés), et dérivés lointains de la “grippe espagnole” du type A(H1N1).  Le “H” et le “N” font référence aux protéines virales appelées hemaglutinines (H) et neuraminidases (N) (plus de détails un peu plus loin).

Quelques experts du milieu médical public croient que ce n’est qu’une question de temps (en fait, ils pensent que nous sommes en retard) avant qu’une nouvelle épidémie mondiale de la “grippe” se produise, tuant beaucoup, beaucoup de gens.

Pourquoi la grippe a-t-elle été capable de tuer rapidement nombre de personnes dans le passé ?

Je vais simplifier, mais suivez-moi.

Le virus de l’influenza est capable de muter ou de changer avec le temps, lui permettant de vous ré-infecter année après année.  Habituellement, cela est un processus lent et très graduel (les deux types du virus de l’influenza A et B peuvent changer de cette façon).  Par exemple, si vous aviez été exposé au virus de l’année dernière, votre système immunitaire aurait créé une mémoire très spécifique de manière à combattre le virus.  Une nouvelle exposition au même virus ne serait maintenant plus un problème.  Puisque le virus change légèrement à chaque année, la mémoire immunitaire de l’an dernier vous protègera partiellement, mais non complètement, de l’infection du virus de l’influenza de cette année.  Pensez en ces termes : vous n’avez pas vu un ami depuis longtemps … lorsque vous le voyez, il vous apparaît évidemment différent, et il vous faudra probablement un moment avant de le reconnaître et de vous rappeler son nom.  Cependant, une fois ce moment passé et vous rappelant son nom, vous avez maintenant une idée claire sur la façon de l’accueillir.

Cependant, chaque fois au hasard, le type du virus de la grippe “A” (le type B ne change pas de cette façon) aura un changement abrupt et dramatique de ses protéines hemaglutinines (H) et/ou neuraminidases (N).  Cela résulte en une nouvelle forme du virus qui n’est pas reconnue comme quelque chose que votre système immunitaire a traité auparavant.  C’est un peu comme si une nouvelle personne arrivait dans votre ville.  Vous n’avez aucune information dans votre mémoire pour identifier cette personne comme un ami et n’avez aucune idée de son nom.  Le virus de l’influenza s’est modifié de cette manière durant la période que le virus de l’influenza est devenu une épidémie mondiale et a tué des millions de gens.

Les groupes sanguins et l’influenza ?

Un bon nombre de chercheurs ont étudié les groupes sanguins et l’influenza.  La quantité de recherche est presque suffisante pour suggérer des liens avec les groupes sanguins, mais jetons un coup d’œil à la recherche pour s’en assurer.

Après exposition au virus de l’influenza, un processus immunitaire appelé “séroconversion” apparaît normalement.  Cela signifie que votre système immunitaire devrait produire des anticorps contre le virus de l’influenza.  Des chercheurs ont trouvé qu’après la circulation de l’influenza A (type (H1N1) et (H3N2)) et les virus de l’influenza du type B, la réponse immunitaire (lorsque mesurée dans la hausse des anticorps antihemaglutinines contre le virus) diffère selon les groupes sanguins.

Les observations immunitaires générales suivantes s’appliquent :

Groupe sanguin A : Dans l'ensemble, le groupe sanguin A a une grande habilité à générer une réponse anticorps rapide et substantielle contre l’influenza du type A(H1N1) et spécialement A(H3N2).  Leur réaction anticorps contre l’influenza du type B n’est pas aussi spectaculaire.

Groupe sanguin AB : Observation immunitaire relativement faible pour l'habilité à générer un haut taux d’anticorps contre n’importe quels types de virus de l’influenza.

Groupe sanguin B : Observation immunitaire modérée, mais peu d’habilité à générer une réponse anticorps contre l’influenza du type A(H1N1).  En fait, il est le plus lent (il peut prendre de 3 à 5 mois) et la plus faible habilité à générer des anticorps contre l’influenza A(H3N2) de tous les groupes sanguins.  Cependant, contre le virus de l’influenza du type B, le groupe sanguin B a un avantage majeur parce qu'il réagit différemment des autres groupes A ou O.  La réaction immunitaire du groupe B se produit beaucoup plus tôt et persiste plus longtemps.

Groupe sanguin O : Habilité relativement acceptable à générer une réponse anticorps contre les virus de l’influenza A(H1N1) et A(H3N2).  La réaction anticorps contre l’influenza B n’est pas aussi importante que celle du groupe sanguin B.

Quelques chercheurs ont émis l’hypothèse qu’une explication pour l’émergence typique de nouvelles variantes épidémiques de l’influenza en Asie est reliée aux groupes sanguins (ainsi que la proportion relativement élevée du groupe sanguin B retrouvé en Asie).  Il semble que le groupe sanguin B possède une prédisposition génétique à la persistance latente (chronique) du virus de l’influenza A (particulièrement A(H3N2) - variantes de “Hong Kong”).  Souvent, les antigènes du virus de l’influenza peuvent se retrouver chez les individus en bonne santé du groupe B aussi longtemps que 5 mois après la “grippe”.  Cela signifie que même si ces individus n’ont pas les symptômes, ils sont un habitat réceptif pour le virus.

Avec ces différentes réponses immunitaires, nous devrions voir des différences quant à la susceptibilité et la sévérité de l’infection de l’influenza entre les différents groupes sanguins... et nous en retrouvons, en effet.  Ce que nous trouvons est que la susceptibilité de l’influenza change selon le groupe sanguin ainsi que les propriétés des différentes variantes du virus de l’influenza.

En regardant l’influenza du type A en général, les généralités suivantes des groupes sanguins existent : 

- les individus du groupe sanguin B (et AB) seront beaucoup plus susceptibles à l’infection durant les périodes pendant lesquelles les variantes antigéniques et sérotypes du virus de l’influenza apparaissent.  Ceci est actuellement très mauvais pour les groupes B et AB puisqu’il s’agit du type de virus de l’influenza A qui change et résulte en épidémies étendues de l’influenza. 

- Les individus du groupe sanguin O tendent à être susceptibles à l’infection de l’influenza lors de la période de circulation des sortes virulentes (donc durant les années où l’influenza rend les gens réellement malades, le groupe O sera touché le plus durement).  

- Les individus du groupe sanguin A sont les plus chanceux lorsqu’il s’agit de l’influenza du type A; ils ont une susceptibilité générale aux variantes moins virulentes de l’influenza du type A.

Par-dessus tout, l’influenza est probablement l'infection la plus problématique pour le groupe AB.  En général, ces individus sont plus sensibles à l’infection de l’influenza des deux types A et B que toutes autres personnes.  Ils sont affectés par ces virus plus tôt et plus sévèrement que ceux des autres groupes sanguins (et doivent être beaucoup plus prudents en rapport aux changements abrupts du virus de l’influenza du type A également).  Le groupe sanguin B sera le plus sévèrement affecté lorsque l’influenza A(H3N2) (variante de “Hong Kong” et ses proches) est en circulation, n’a relativement peu de difficulté avec l’influenza B, et doit être très prudent quant aux changements abrupts dans les variantes de l’influenza A.  Le groupe sanguin O a moins d’influenza A(H1N1) et plus de A(H3N2).  Le groupe sanguin A offre indirectement une protection relative contre les deux variantes de l’influenza A.

Est-ce que le vaccin de la grippe me protègera ?

Est-ce que ce vaccin protège les groupes sanguins de façons différentes ?  Bien, ce que la recherche indique est que tous les groupes sanguins auront des fréquences de séroconversion similaires aux deux vaccins (atténué vivant et sub-unité mort) après l’administration de DEUX doses.  Mais, après seulement UNE dose du vaccin vivant, le groupe sanguin A est beaucoup plus susceptible que les autres groupes sanguins à la séroconversion.  La leçon qu’on peut tirer, ici, est que les groupes sanguins B, AB et O devraient probablement recevoir deux doses du vaccin vivant pour de meilleurs résultats (la plupart des individus du groupe A peuvent probablement en recevoir une seulement).  Avec le vaccin sub-unité mort, le groupe O produit la plus grande réponse anticorps antihemaglutinine.  Tout de même, deux doses placent en général les groupes sanguins en terrain commun.

En plus de l’information sur les groupes sanguins, rappelez-vous ce qui suit.  Le vaccin courant de cette année est produit des virus de l’influenza les plus communs en circulation l’année dernière.  Alors, la plupart du temps, quand le virus change seulement un petit peu par rapport à l’année précédente, le vaccin offrira quelques protections.

Note : Il y a plusieurs personnes qui bénéficieront néanmoins du vaccin de l’influenza dont les personnes âgées, les malades chroniques et les individus avec des problèmes immunitaires.  Pour plus d’information afin de savoir qui devrait recevoir ce vaccin, il est préférable de contacter un médecin ou le ministère de la santé.

Essentiellement, l’efficacité du vaccin sera toujours dépendante de la façon dont il correspond aux variantes du virus de l’influenza en circulation.  Alors, si le virus change de manière dramatique par rapport à l’année précédente (comme dans les années d’épidémies), le vaccin sera de peu ou pas d’utilité, parce qu'en fait, il ne vous donnera pas de références pour quiconque connaît cette nouvelle personne en ville (on se rappelle le texte sur les termes énoncés plus haut en rapport avec la reconnaissance et la façon d'accueillir).  Donc, un point essentiel quant au vaccin de l’influenza, est qu’il offre une protection la plupart du temps, mais probablement pas durant les épidémies.

Les anti-viraux et la “grippe”

Amantadine et rimantadine sont des médicaments produits chimiquement qui interfèrent avec le cycle de reproduction des virus de l’influenza du type A (ils n’ont pas d’effets contre le type B).  Les deux offrent un degré de protection modéré contre l’infection s’ils sont consommés durant la saison de l’influenza; cependant, le prix, la conformité et les effets secondaires en limitent l’usage pour la plupart des gens. 

Amantadine et rimantadine sont aussi utiles dans le traitement de l’influenza; ils sont capables de réduire la sévérité et raccourcissent la durée de l’influenza A s’ils sont donnés pendant les premières 48 heures.  Un inconvénient énorme avec ces anti-viraux est qu’ils résultent en un virus de l’influenza A résistant aux Amantadine et rimantadine lorsqu’ils sont utilisés pour traitement (une stratégie à long terme très mauvaise résultant essentiellement d’une possible inefficacité de ces médicaments quand vous en auriez le plus grand besoin contre un virus de l’influenza sévère ou dangereux.).

Inhibiteurs ZANAMIVIR et NEURAMINIDASE

Le zanamivir est le premier d’une nouvelle classe de médicaments connus comme inhibiteurs viraux sélectifs neuraminidases.  Et, si en fait le vieil adage qui dit que “la limitation est la forme la plus sincère de flatterie” est vraie, ce type de médicament possède une espérance énorme.  Les compagnies pharmaceutiques et bio-technologiques (incluant un des géants de l’industrie – Hoffman La Roche) ont sauté rapidement dans le train des neuraminidases et en sont maintenant soit à planifier le lancement, soit dans le processus de développer leurs propres inhibiteurs neuraminidases.

La raison pour laquelle le zanamivir offre un tel espoir, est que chez les humains, il ne fait pas que prévenir l’infection de l’influenza, mais réduit aussi la durée et l’intensité des symptômes typiques, s’il est donné durant les premières 30 heures de l’infection.

Le virus de l’influenza forme des hemaglutinines (essentiellement des pointes de protéines) qui relâchent une enzyme appelée neuraminidase afin de s’étendre aux autres cellules et de propager l’infection.  D’une perspective bio-chimique, la neuraminidase est une enzyme qui sépare les résidus de l’acide terminal sialique d’avec les glycoconjugates (est-ce que le terme « glycoconjugate » vous rappelle quelque chose ?  Il devrait parce que les antigènes sur vos cellules, comme votre marqueur ABO, sont des glycoconjugates).  En séparant les sucres acides sialiques, le virus peut s’échapper des cellules infectées, s’étendre aux autres cellules et faire le mucus que vous produisez en réponse à une infection moins prononcée.  (Oui, le nez qui coule et le mucus que vous produisez en réponse à un rhume ou à une grippe font actuellement partie du système de défense de votre corps).

ELDERBERRY et la “grippe”

Alors d’où vient l’ELDERBERRY dans ce portrait de la “grippe” ?  J’ai mentionné qu’il était historiquement utilisé, mais est-ce qu’il fonctionne ?  Dans les expériences, l’ELDERBERRY empêche en effet la reproduction de toutes les variantes de l’influenza humaine (A et B) des virus testés.

Dans une situation de contrôle placebo, en étude double (le standard scientifique si on veut) un extrait du fruit ELDERBERRY a démontré son efficacité pour le traitement de l’influenza B.  Ce que la recherche a démontré est que l’état des personnes utilisant l’extrait de ELDERBERRY s’est amélioré plus rapidement (plus de 70% étaient mieux après 2 jours et plus de 90% des personnes avaient complètement combattu l’infection en 3 jours).  Au contraire, les personnes en placebo avaient souvent besoin de 6 jours pour se sentir bien.

Pourquoi l’ELDERBERRY fonctionne-il ?  Bien, en fait les chercheurs ont trouvé deux raisons.  Les personnes prenant l’ELDERBERRY étaient capables de produire un haut taux d’antihemaglutinine à l’influenza B (signifiant que leur système immunitaire fonctionnait essentiellement mieux et avait maintenant un plus haut taux de reconnaissance de ce virus si jamais il revenait).  Et, l’ELDERBERRY combat les neuraminidases (oui, il s’agit des mêmes neuraminidases contre lesquels les scientifiques dépensent des millions de dollars pour créer des médicaments).  (Note de l’éditeur : le zanamivir semble reproduire cette habilité à bloquer les neuraminidases tout comme l'ELDERBERRY, mais ne semble pas avoir l’impact bénéfique de l’ELDERBERRY sur le système immunitaire).

Une question importante qui n’a pas été encore répondue est ... à savoir si l’ELDERBERRY fonctionne aussi bien contre les variantes de l’influenza A ?  Je n’ai pas encore de réponse définitive à vous donner, mais si on se base sur la méthode d’action, son habilité «in vitro» et mes observations cliniques, la réponse est probablement "oui".  Nos patients prenant de l’ELDERBERRY (myrtilles, cerises et un mélange de concentré de pomme ou de poire) semblent facilement passer à travers la saison de la “grippe”.  Le conseil que je vous laisse est que lorsqu’il s’agit de l’usage journalier de l’ELDERBERRY, une plus grande quantité ne veut pas nécessairement dire un meilleur résultat.  Des doses plus grandes provoqueront des nausées.  Si vous essayez d’éviter la “grippe”, une petite quantité à tous les jours pourrait aider.  Je recommande l’ELDERBERRY spécialement pour les groupes B et AB à cause de leur susceptibilité générale au virus.  Comme traitement, nous utilisons 2 c. à table 3 à 4 fois par jour chez les adultes et moins pour les enfants, selon leur poids corporel.

Alors, le point final est... pendant la prochaine saison de la “grippe”, souvenez-vous de l’ELDERBERRY.

Références

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S'il y a des titres qui n'ont pas de lien, ceux-ci en auront bientôt.
Les textes sont en préparation.

Les définitions

* Placebo retour au texte
Méd. Substance et, par ext., traitement pouvant améliorer des symptômes chez certains malades, mais sans activité thérapeutique reconnue scientifiquement autre que psychologique.
* Séroconversion retour au texte
Passage de l’état séronégatif à l’état séropositif, se produisant un certain temps après un contage infectieux.

Source : Le petit Larousse illustré

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